- EAN13
- 9782246817505
- Éditeur
- Grasset
- Date de publication
- 02/05/2018
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Grasset 7,90
Il existe plusieurs recueils des pensées de Voltaire : ils sont tous posthumes
et effectués par des éditeurs plus ou moins scrupuleux à partir de ses
carnets. Ce qu’on ne sait pas, c’est que, de son vivant, Voltaire a lui-même
compilé un manuscrit de Pensées, remarques et observations. Il a offert ce «
Voltaire par Voltaire » à son ami le marquis de Villevieille. Ce cadeau intime
a connu une unique édition à très faible tirage au début du XIXe siècle.
Oublié depuis, il se voit, pour la première fois depuis 1802, réédité dans les
Cahiers rouges.
Voici donc un petit bréviaire de la pensée de Voltaire, voire de la pensée des
Lumières; en même temps, un recueil de bons mots et d’anecdotes du meilleur
cru voltairien :
Dieu n’est pas pour les plus gros bataillons, mais pour ceux qui tirent le
mieux.
Même lorsqu’il cite les bons mots des autres, c’est sa propre voix qui se fait
entendre:
Le cardinal Lecamus disait à la duchesse de Lesdiguières, qui vendait son lit:
« Quand les ouvriers vendent leurs outils, c’est qu’ils veulent quitter le
métier. »
Un petit Voltaire en condensé, les boulets de canon de l’irrespect et de la
liberté.
Edition et préface de Nicholas Cronk, directeur de la Voltaire Foundation à
Oxford.
et effectués par des éditeurs plus ou moins scrupuleux à partir de ses
carnets. Ce qu’on ne sait pas, c’est que, de son vivant, Voltaire a lui-même
compilé un manuscrit de Pensées, remarques et observations. Il a offert ce «
Voltaire par Voltaire » à son ami le marquis de Villevieille. Ce cadeau intime
a connu une unique édition à très faible tirage au début du XIXe siècle.
Oublié depuis, il se voit, pour la première fois depuis 1802, réédité dans les
Cahiers rouges.
Voici donc un petit bréviaire de la pensée de Voltaire, voire de la pensée des
Lumières; en même temps, un recueil de bons mots et d’anecdotes du meilleur
cru voltairien :
Dieu n’est pas pour les plus gros bataillons, mais pour ceux qui tirent le
mieux.
Même lorsqu’il cite les bons mots des autres, c’est sa propre voix qui se fait
entendre:
Le cardinal Lecamus disait à la duchesse de Lesdiguières, qui vendait son lit:
« Quand les ouvriers vendent leurs outils, c’est qu’ils veulent quitter le
métier. »
Un petit Voltaire en condensé, les boulets de canon de l’irrespect et de la
liberté.
Edition et préface de Nicholas Cronk, directeur de la Voltaire Foundation à
Oxford.
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