- EAN13
- 9782850610677
- Éditeur
- Premier Parallèle
- Date de publication
- 08/04/2021
- Collection
- Premier parallele poche
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - 1er Parallèle 16,00
" Lagos vous rend vivant. Lagos vous tue. Ici, vous aurez tort sur tout. Ici,
vous n'aurez plus raison de rien. Lagos crée autant de millionnaires qu'elle
envoie de pauvres au tapis. Ici, la Nature abonde autant qu'elle
s'autodétruit. Et jamais, vous, humains, malgré vos croyances et vos
certitudes, jamais vous n'aurez voulu tant vivre. Au milieu de ce trop-plein,
de ce trop de gens, de ce trop de déchets, d'injustices, de fêtes et d'excès.
De tout ce que vous aviez tenté d'ignorer jusqu'à présent. "
En mars 2020, Sophie Bouillon vit à Lagos, la capitale économique tentaculaire
du Nigeria, quand le premier cas de Coronavirus y est déclaré. Journaliste,
elle s'extrait de sa nuit pour aller écrire la dépêche qui annoncera au monde
que l'Afrique, à son tour, est touchée par ce qu'on appelle alors le " virus
des Blancs ". Manuwa Street, c'est le récit incroyablement puissant d'une
année qui s'achèvera par le soulèvement d'un peuple. C'est aussi et surtout
une déclaration d'amour à une ville qui ne connaît jamais de répit – et, pour
nous lecteurs, une invitation urgente à voir le monde autrement.
Ouvrez Manuwa Street, vous ne pourrez plus le refermer.
vous n'aurez plus raison de rien. Lagos crée autant de millionnaires qu'elle
envoie de pauvres au tapis. Ici, la Nature abonde autant qu'elle
s'autodétruit. Et jamais, vous, humains, malgré vos croyances et vos
certitudes, jamais vous n'aurez voulu tant vivre. Au milieu de ce trop-plein,
de ce trop de gens, de ce trop de déchets, d'injustices, de fêtes et d'excès.
De tout ce que vous aviez tenté d'ignorer jusqu'à présent. "
En mars 2020, Sophie Bouillon vit à Lagos, la capitale économique tentaculaire
du Nigeria, quand le premier cas de Coronavirus y est déclaré. Journaliste,
elle s'extrait de sa nuit pour aller écrire la dépêche qui annoncera au monde
que l'Afrique, à son tour, est touchée par ce qu'on appelle alors le " virus
des Blancs ". Manuwa Street, c'est le récit incroyablement puissant d'une
année qui s'achèvera par le soulèvement d'un peuple. C'est aussi et surtout
une déclaration d'amour à une ville qui ne connaît jamais de répit – et, pour
nous lecteurs, une invitation urgente à voir le monde autrement.
Ouvrez Manuwa Street, vous ne pourrez plus le refermer.
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