Non aux 30 douloureuses !, L'Etat n'a pas de temps à perdre
EAN13
9782259218139
ISBN
978-2-259-21813-9
Éditeur
Plon
Date de publication
Nombre de pages
263
Dimensions
22,6 x 14,1 x 2,4 cm
Poids
356 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
S'identifier

Non aux 30 douloureuses !

L'Etat n'a pas de temps à perdre

De

Plon

Indisponible

Ce livre est en stock chez un confrère du réseau leslibraires.fr,

Cliquez ici pour le commander

Autre version disponible

Un grand serviteur de l'État s'indigne. Après les " Trente Glorieuses " qui ont vu la France se reconstruire, de 1945 à 1975, les " Trente Piteuses " qui ont vu la France vivre à crédit de 1975 à 2005, faut-il craindre les " Trente Douloureuses " qui sacrifieraient toute une génération ?
Un grand serviteur de l'État s'indigne. Après les " Trente Glorieuses " qui ont vu la France se reconstruire, de 1945 à 1975, les " Trente Piteuses " qui ont vu la France vivre à crédit de 1975 à 2005, faut-il craindre les " Trente Douloureuses " qui sacrifieraient toute une génération ?
Un sursaut est nécessaire. C'est toute la puissance de l'État, sa légitimité au coeur de la démocratie, son ambition, sa crédibilité, sa conduite qui sont en jeu. Les clefs ? Retrouver un État stratège qui ait une vision, revaloriser les femmes et les hommes du service public, reprendre le contrôle de la finance et apprivoiser la mondialisation. Condition essentielle de ce sursaut : la réhabilitation du temps long. Cet ouvrage analyse les symptômes de la crise, à commencer par cette société de défiance qui croit ne plus maîtriser son destin, confrontée à la question des élites, broyée par l'incapacité de la puissance publique à maîtriser les dérives et à se faire respecter. Doté d'une connaissance intime des rouages de l'État et des grands groupes français, Augustin de Romanet apporte un témoignage sans concession, étayé d'expériences saisissantes et d'exemples du passé. Face à la frénésie du monde, il existe d'autres voies que celles de l'immobilisme et du découragement. L'auteur prévient : si le long terme n'est pas placé au premier rang du débat politique, c'est le déclin qu'il faut craindre. Conjurer les "Trente Douloureuses", il n'y a pas de projet plus beau.
S'identifier pour envoyer des commentaires.

Autres contributions de...

Plus d'informations sur Augustin de Romanet