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    3 novembre 2019

    Ellroy se serait-il égaré ?

    J’ai lu la première partie de « La Tempête qui vient », le nouveau roman de
    James Ellroy, tome 2 de son deuxième quatuor de Los Angeles. Je ne suis pas
    allé au-delà de ces 164 premières pages mais je peux partager les impressions
    qu’elles m’ont laissées. C’est à ce moment-là du livre que j’ai admis n’y
    prendre aucun plaisir, n’avoir aucune envie d’affronter les 534 pages
    restantes et être prêt à chercher une autre lecture plus accueillante. Autant
    « Perfidia » (2015) m’avait ébloui de bout en bout, parfaite synthèse des
    obsessions et des ambitions du « Chien Fou », autant cette suite (du moins le
    début) m’a semblé froide et brumeuse, répétitive et hermétique.

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