- EAN13
- 9782290014288
- ISBN
- 978-2-290-01428-8
- Éditeur
- J'ai Lu
- Date de publication
- 02/05/2010
- Collection
- LITTERATURE GEN (9115)
- Nombre de pages
- 640
- Dimensions
- 17,7 x 11 x 2,8 cm
- Poids
- 330 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 843
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Offres
La consolante
Charles Balanda, 47 ans, architecte à Paris, apprend incidemment la mort d'une femme qu'il a connue quand il était enfant et qui incarnait pour lui un univers bien différent de sa famille petite-bourgeoise : un univers de folie, de passion, de douleur même, un univers vivant. À l'annonce de cette nouvelle, il bascule dans l'angoisse et le chagrin. Il perd pied. Dans son couple, dans son travail, dans ses certitudes... jusqu'à ce que sa rencontre avec la lumineuse Kate change sa vision du monde.
« Un roman épatant, comme disait Sagan. Bouleversant, inattendu, réjouissant, acéré, énorme. »
Olivia de Lamberterie ¤ Elle
« C'est drôle, c'est triste, ça foisonne. Il y a des morceaux impayables... Mais on ne saurait réduire La Consolante aux sentiments et personnages. Ce qui prime à mes yeux, c'est le déferlement perpétuel de la vie d'aujourd'hui. »
Philippe Delerm ¤ Le figaro
Charles Balanda, 47 ans, architecte à Paris, apprend incidemment la mort d'une femme qu'il a connue quand il était enfant et qui incarnait pour lui un univers bien différent de sa famille petite-bourgeoise : un univers de folie, de passion, de douleur même, un univers vivant. À l'annonce de cette nouvelle, il bascule dans l'angoisse et le chagrin. Il perd pied. Dans son couple, dans son travail, dans ses certitudes... jusqu'à ce que sa rencontre avec la lumineuse Kate change sa vision du monde.
« Un roman épatant, comme disait Sagan. Bouleversant, inattendu, réjouissant, acéré, énorme. »
Olivia de Lamberterie ¤ Elle
« C'est drôle, c'est triste, ça foisonne. Il y a des morceaux impayables... Mais on ne saurait réduire La Consolante aux sentiments et personnages. Ce qui prime à mes yeux, c'est le déferlement perpétuel de la vie d'aujourd'hui. »
Philippe Delerm ¤ Le figaro
S'identifier pour envoyer des commentaires.
