- EAN13
- 9782916784533
- ISBN
- 978-2-916784-53-3
- Éditeur
- Alpen
- Date de publication
- 05/03/2010
- Collection
- C'EST NATUREL
- Nombre de pages
- 1
- Dimensions
- 1 x 1 x 1 cm
- Poids
- 207 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 613.25
- Fiches UNIMARC
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Michel Montignac est le premier au monde à avoir en 1986 introduit l'index glycémique dans l'amaigrissement. Il demeure aujourd'hui l'un des meilleurs experts dans l'application de ce concept pour prévenir et réduire la surcharge pondérale et l'obésité. En posant les bases d'une nouvelle philosophie alimentaire, Michel Montignac a montré depuis plus de 20 ans que le choix de nos aliments est déterminant dans le domaine de la santé.
Un simple recentrage de nos habitudes alimentaires peu en effet nous permettre, non seulement de nous délecter de nos kilos en trop, mais aussi de prévenir d'autres maladies métaboliques, comme le diabète et affections cardiovasculaires.
La méthode Montignac montre que le facteur énergétique n'est pas déterminant dans la prise de poids et que ce qui importe dans l'aliment est plus sa qualité que sa quantité en termes caloriques.
Car pour maigrir, il ne s'agit pas de manger moins mais de manger mieux, en choisissant les aliments par rapport aux effets métaboliques qu'ils sont capables d'induire. C'est-à-dire qu'en choisissant les "bons" glucides et les "bonnes" graisses le métabolisme oriente l'énergie du repas vers le brûlage et non le stockage.
Un simple recentrage de nos habitudes alimentaires peu en effet nous permettre, non seulement de nous délecter de nos kilos en trop, mais aussi de prévenir d'autres maladies métaboliques, comme le diabète et affections cardiovasculaires.
La méthode Montignac montre que le facteur énergétique n'est pas déterminant dans la prise de poids et que ce qui importe dans l'aliment est plus sa qualité que sa quantité en termes caloriques.
Car pour maigrir, il ne s'agit pas de manger moins mais de manger mieux, en choisissant les aliments par rapport aux effets métaboliques qu'ils sont capables d'induire. C'est-à-dire qu'en choisissant les "bons" glucides et les "bonnes" graisses le métabolisme oriente l'énergie du repas vers le brûlage et non le stockage.
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