- EAN13
- 9791091601467
- ISBN
- 979-10-91601-46-7
- Éditeur
- Cent mille milliards
- Date de publication
- 03/2016
- Collection
- Littérature
- Nombre de pages
- 264
- Dimensions
- 20,3 x 13,3 x 1,5 cm
- Poids
- 306 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Vingt-cinq chroniques de la vie d'Olivier Disle, depuis son enfance jusqu'à une récente rencontre. Vingt-cinq incroyables récits d'événements anodins qui prennent dans la tête du lecteur une ampleur réjouissante grâce à un ton plein de vitalité et à un style précis, détaillé, millimétré. J'ai une bonne solution de repli sur Mimizan se lit comme on écoute une confidence dont chaque fait provoque inévitablement des échos bienfaisants.
Les chroniques d'Olivier Disle décrivent par petites touches comment une époque marque (ou pas...) de son empreinte les individus, comment le temps qui passe et ce trésor qu'est l'« Infra-ordinaire » agissent sur notre capacité d'émerveillement, en particulier lorsque nous parvenons à conserver des éclats d'enfance.
Mais, plus que les événements évoqués (la vie scolaire, la conquête de la lune, Roland-Garros, la publicité, la télévision...), ce que l'auteur laisse peu à peu entrevoir, ce sont les rôles essentiels de la littérature, du cinéma et des rencontres dans la construction d'une identité. Ces référents et l'attachement presque déraisonnable avec lesquels l'auteur les place dans sa vie et dans ses récits sont réjouissants.
J'ai une bonne solution de repli sur Mimizan offre ainsi une vision rare du monde dans lequel nous évoluons. La lecture de ces chroniques convoque aussi bien les sourires complices qu'une mélancolie bénéfique, à la limite d'un séduisant désenchantement.
Les chroniques d'Olivier Disle décrivent par petites touches comment une époque marque (ou pas...) de son empreinte les individus, comment le temps qui passe et ce trésor qu'est l'« Infra-ordinaire » agissent sur notre capacité d'émerveillement, en particulier lorsque nous parvenons à conserver des éclats d'enfance.
Mais, plus que les événements évoqués (la vie scolaire, la conquête de la lune, Roland-Garros, la publicité, la télévision...), ce que l'auteur laisse peu à peu entrevoir, ce sont les rôles essentiels de la littérature, du cinéma et des rencontres dans la construction d'une identité. Ces référents et l'attachement presque déraisonnable avec lesquels l'auteur les place dans sa vie et dans ses récits sont réjouissants.
J'ai une bonne solution de repli sur Mimizan offre ainsi une vision rare du monde dans lequel nous évoluons. La lecture de ces chroniques convoque aussi bien les sourires complices qu'une mélancolie bénéfique, à la limite d'un séduisant désenchantement.
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