Eve est une jeune fille forte et passionnée par la danse classique, son rêve est l’Opéra de Paris. Originaire du mali, Eve est adoptée à l’âge de 6 ans, par des parents qui la soutienne dans sa passion et la protège de la spirale de cette obsession. Mais elle va être confrontée à des réflexions blessantes qui vont remettre en question tous ses efforts et la possibilité d'atteindre son rêve.
On aime suivre l’avancée d’Eve vers son rêve, on s’émeut de ses progrès et s’indigne des réflexions qui lui sont faites. Une lecture touchante et pleine d’espoir, qui aborde le sujet de l'adoption et du racisme avec brio.
A découvrir dès 9ans,
Solène

Caviar nous offre d’incroyable fou rire grâce à son arrivé dans sa nouvelle famille : le petit Léopold et sa grand-mère complètement déjantée ! Chansons, concours de bulle et dentier d’attaque… On ne s’ennuie pas un instant et ça fait du bien !
Solène

Lorsqu’Herbert disparaît lors d’une expédition en Arctique, il laisse derrière lui son amour de toujours Olga. Elle continuera de lui envoyer des lettres et de l’attendre en vain. Olga gardera ses secrets pour elle jusqu’à sa mort, emportant avec elle ses multiples vies dues à la première et à la seconde guerre.
C’est à la découverte des lettres d’Olga envoyées à Herbert, que l’on découvre les multiples facettes de son existence et les mystères de sa mort.
Véritable fresque féminine, on se laisse bercer par la magnifique plume de Bernhard Schlink !
Elisa

Après « La gouvernante suédoise » Marie Sizun nous raconte le destin de sa grand-mère Eugénie et de ses sœurs Louise et Alice. De 1877 à 1939 l’histoire de la famille se déroule entre Saint-Pétersbourg et Paris en passant par La Bernerie en Retz où les 3 sœurs s’ennuient ferme. Leur salut viendra d’Alice qui comprend vite que pour échapper à la tyrannie de leur père elle doit s’émanciper et travailler. C’est un vrai plaisir de retrouver la famille Sézeneau et Livia, de découvrir leurs destins dans cette très belle saga familiale.
Valérie

Benjamin, le fils d'Edouard a été victime d'agression. Edouard s'interroge, pourquoi ? Pourquoi son fils ? Qu'a t'il raté ? Il s'en veut de ne pas avoir compris ce qui était une évidence mais "Dire c'est faire exister l'horreur". Son besoin de vengeance prend le dessus, il confronte alors l'agresseur de son fils qui n'est autre que le prêtre de leur église...

Solène