- EAN13
- 9782204145268
- Éditeur
- Cerf
- Date de publication
- 16/09/2021
- Collection
- Société
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
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Papier - Cerf 20,00
Ne pas protéger les animaux, c’est perdre de vue notre humanité. En raison de
l’installation croissante de l’homme sur la terre comme conquérant, et non
comme simple cohabitant, les animaux font désormais partie des plus
vulnérables. Et ce que l’homme inflige aux bêtes, il se l’inflige à lui-même.
Élevage intensif violent pour les animaux et déshonorant pour les hommes,
destruction des forêts primaires bouleversant les lieux de vie des uns et des
autres, propagation d’épidémies franchissant la barrière des espèces font
aujourd’hui apparaître, grandeur nature, qu’hommes et animaux sont engagés
dans un destin commun, et que les agressions infligées au vivant nous
entraînent dans une spirale suicidaire. À l’heure de l’industrie agro-
alimentaire, de la Covid-19 et du réchauffement climatique, c’est à un sursaut
salutaire que Danielle Moyse, philosophe, par ailleurs spécialiste des
questions d’éthique médicale, appelle de ses voeux. Il n’y va pas seulement de
notre survie, même si la brutalité à l’égard des animaux n’a jamais tardé à
s’étendre concrètement à l’être humain. Sans une réforme radicale de notre
rapport au vivant et une redéfinition de notre habitation terrestre, le pire
est à venir.
Un plaidoyer magistral en faveur des hommes et des bêtes. Un appel décisif au
respect de tous !
Philosophe, enseignante, Danielle Moyse est chercheuse associée à l’IRIS
(CNRS, EHESS). Elle travaille notamment sur les questions éthiques relatives
aux personnes en situation de handicap.
l’installation croissante de l’homme sur la terre comme conquérant, et non
comme simple cohabitant, les animaux font désormais partie des plus
vulnérables. Et ce que l’homme inflige aux bêtes, il se l’inflige à lui-même.
Élevage intensif violent pour les animaux et déshonorant pour les hommes,
destruction des forêts primaires bouleversant les lieux de vie des uns et des
autres, propagation d’épidémies franchissant la barrière des espèces font
aujourd’hui apparaître, grandeur nature, qu’hommes et animaux sont engagés
dans un destin commun, et que les agressions infligées au vivant nous
entraînent dans une spirale suicidaire. À l’heure de l’industrie agro-
alimentaire, de la Covid-19 et du réchauffement climatique, c’est à un sursaut
salutaire que Danielle Moyse, philosophe, par ailleurs spécialiste des
questions d’éthique médicale, appelle de ses voeux. Il n’y va pas seulement de
notre survie, même si la brutalité à l’égard des animaux n’a jamais tardé à
s’étendre concrètement à l’être humain. Sans une réforme radicale de notre
rapport au vivant et une redéfinition de notre habitation terrestre, le pire
est à venir.
Un plaidoyer magistral en faveur des hommes et des bêtes. Un appel décisif au
respect de tous !
Philosophe, enseignante, Danielle Moyse est chercheuse associée à l’IRIS
(CNRS, EHESS). Elle travaille notamment sur les questions éthiques relatives
aux personnes en situation de handicap.
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