- EAN13
- 9782259215336
- Éditeur
- Plon
- Date de publication
- 24/11/2011
- Collection
- Hors collection
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Pour la première fois, Patrick Bruel a décidé de se livrer, lors d'une
conversation avec Claude
Askolovitch, sur sa vie, ses choix et ses engagements.
" Il n'y a pas de début adéquat tant ce type est connu, et comment veux-tu le
saisir, il est trop de mecs à la fois, qui chante et joue et fait flamber au
poker et parle et aime et veut être aimé, et petit garçon et vieux sage et
papa et poteau...
L'idée est de le prendre au débotté pour qu'il ne parte pas en boucle, et
Patrick ne fera pas du Bruel. Si on réussit ce truc, il ne jouera pas son
rôle, il n'en aura pas le temps, je le forcerai au ping-pong verbal et il sera
meilleur que moi, puisqu'il est plus rapide.
On s'est vite compris sur ce qu'on pouvait jouer. On a décidé qu'on ne ferait
pas une bio déguisée, mais une histoire ensemble, un dialogue, entre deux mecs
qui sont déjà vieux mais qui ne le savent pas ou qui s'en doutent et, bien
sûr, ce sera lui le héros mais, moi, je serai son pote. Tant qu'à avoir un
copain, autant qu'il s'appelle Bruel... "
Claude Askolovitch
conversation avec Claude
Askolovitch, sur sa vie, ses choix et ses engagements.
" Il n'y a pas de début adéquat tant ce type est connu, et comment veux-tu le
saisir, il est trop de mecs à la fois, qui chante et joue et fait flamber au
poker et parle et aime et veut être aimé, et petit garçon et vieux sage et
papa et poteau...
L'idée est de le prendre au débotté pour qu'il ne parte pas en boucle, et
Patrick ne fera pas du Bruel. Si on réussit ce truc, il ne jouera pas son
rôle, il n'en aura pas le temps, je le forcerai au ping-pong verbal et il sera
meilleur que moi, puisqu'il est plus rapide.
On s'est vite compris sur ce qu'on pouvait jouer. On a décidé qu'on ne ferait
pas une bio déguisée, mais une histoire ensemble, un dialogue, entre deux mecs
qui sont déjà vieux mais qui ne le savent pas ou qui s'en doutent et, bien
sûr, ce sera lui le héros mais, moi, je serai son pote. Tant qu'à avoir un
copain, autant qu'il s'appelle Bruel... "
Claude Askolovitch
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