- EAN13
- 9782823874303
- Éditeur
- 12-21
- Date de publication
- 22/08/2019
- Collection
- Hors collection
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Fleuve Editions 19,90
"Des habitants qui ont avalé leur langue.
Une forêt où rôde un étrangleur de bêtes.
Trois maisons isolées en lisière de forêt et l'Eaulne pour frontière..."
"La plume la plus sensible du roman policier féminin." Michel Bussi
La capitaine Mathilde Sénéchal n'aurait jamais imaginé retourner sur les lieux
de son enfance, un petit village non loin de Dieppe. Mais quand Lazaret, son
ancien chef de groupe, lui fait parvenir une lettre sibylline, elle comprend
qu'elle va devoir rouvrir une enquête vieille de trente ans. Qu'elle le
veuille ou non, le passé ne meurt jamais. Il a même des odeurs, ces odeurs
qu'elle sait identifier comme personne et qui sont aussi son talon d'Achille.
Il est temps pour elle de sonder sa mémoire défaillante et d'affronter la
vérité.
À propos de l'univers de Comme de longs échos :
" Pas besoin d'aller chercher plus loin qu'un fait divers quand le talent
tient la barre. "
Delphine Peras, L'Express.
Une forêt où rôde un étrangleur de bêtes.
Trois maisons isolées en lisière de forêt et l'Eaulne pour frontière..."
"La plume la plus sensible du roman policier féminin." Michel Bussi
La capitaine Mathilde Sénéchal n'aurait jamais imaginé retourner sur les lieux
de son enfance, un petit village non loin de Dieppe. Mais quand Lazaret, son
ancien chef de groupe, lui fait parvenir une lettre sibylline, elle comprend
qu'elle va devoir rouvrir une enquête vieille de trente ans. Qu'elle le
veuille ou non, le passé ne meurt jamais. Il a même des odeurs, ces odeurs
qu'elle sait identifier comme personne et qui sont aussi son talon d'Achille.
Il est temps pour elle de sonder sa mémoire défaillante et d'affronter la
vérité.
À propos de l'univers de Comme de longs échos :
" Pas besoin d'aller chercher plus loin qu'un fait divers quand le talent
tient la barre. "
Delphine Peras, L'Express.
S'identifier pour envoyer des commentaires.