- EAN13
- 9782823874969
- Éditeur
- 12-21
- Date de publication
- 05/09/2019
- Collection
- Hors collection
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
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Papier - 10-18 9,20
Le destin de quelques textes est d'incarner un genre littéraire. Le Journal de
Marie Bashkirtseff reste, depuis sa parution, un des grands classiques de la
littérature autobiographique.
D'une capitale l'autre, de villégiature huppée en ville d'eau, Marie
Bashkirtseff, jeune peintre russe d'une grande beauté, tente de vivre,
d'aimer, de laisser une oeuvre à la postérité. Paradoxalement, c'est son
journal intime qui fera d'elle une des figures les plus touchantes de la Belle
Epoque.
Jamais une vie ne fut vécue avec plus de fièvre, plus de soif de vivre,
écrivait Hugo von Hofmannsthal. Elle a le grand don de l'expérience, cette
sensibilité vigoureuse et délicate à la séduction extérieure, par où l'enfant
et l'artiste se rencontrent. Ses nerfs sans emploi répondent avec plus de
vivacité, de force et d'originalité à chaque impulsion ; son âme souple et
séduisante s'enflamme et brille, mais elle se brûle à sa propre flamme et à
vingt-quatre ans, elle s'est consumée.
Marie Bashkirtseff reste, depuis sa parution, un des grands classiques de la
littérature autobiographique.
D'une capitale l'autre, de villégiature huppée en ville d'eau, Marie
Bashkirtseff, jeune peintre russe d'une grande beauté, tente de vivre,
d'aimer, de laisser une oeuvre à la postérité. Paradoxalement, c'est son
journal intime qui fera d'elle une des figures les plus touchantes de la Belle
Epoque.
Jamais une vie ne fut vécue avec plus de fièvre, plus de soif de vivre,
écrivait Hugo von Hofmannsthal. Elle a le grand don de l'expérience, cette
sensibilité vigoureuse et délicate à la séduction extérieure, par où l'enfant
et l'artiste se rencontrent. Ses nerfs sans emploi répondent avec plus de
vivacité, de force et d'originalité à chaque impulsion ; son âme souple et
séduisante s'enflamme et brille, mais elle se brûle à sa propre flamme et à
vingt-quatre ans, elle s'est consumée.
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