- EAN13
- 9782100783205
- ISBN
- 978-2-10-078320-5
- Éditeur
- Dunod
- Date de publication
- 07/11/2018
- Collection
- Hors Collection
- Nombre de pages
- 144
- Dimensions
- 21 x 16 x 1,5 cm
- Poids
- 394 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Cocktailement vôtre !
Les recettes de cocktails et boissons préférées de James Bond 007
De David Leigh
Dunod
Hors Collection
Offres
Son Vodka Martini ? « Au shaker, pas à la cuillère. »
Son Mint Julep ? « Assez raide, pas trop de douceur. »
Et pour son champagne ? Du Dom Pérignon 1953, bien entendu.
C’est bien connu, James Bond aime les jolies filles, les voitures, les montres… et le Vodka Martini. Mais ce n’est pas le seul cocktail que l’agent très spécial déguste au fil de ses aventures : Mojito, Americano, Rum Collins ou encore Vesper flattent le palais exigeant de 007, auxquels s’ajoutent les traditionnels champagnes, vins, bières et spiritueux emblématiques des régions qu’il visite.
Avec Cocktailement vôtre, David Leigh, créateur du blog The James Bond Dossier, nous apprend à déguster comme le plus gentleman des agents secrets et nous fait découvrir l’histoire qui se cache derrière ces cocktails de légende – toujours alcoolisés, car le thé, « cette boue », n’est-il pas « responsable du déclin de l’Empire britannique » ?
Son Mint Julep ? « Assez raide, pas trop de douceur. »
Et pour son champagne ? Du Dom Pérignon 1953, bien entendu.
C’est bien connu, James Bond aime les jolies filles, les voitures, les montres… et le Vodka Martini. Mais ce n’est pas le seul cocktail que l’agent très spécial déguste au fil de ses aventures : Mojito, Americano, Rum Collins ou encore Vesper flattent le palais exigeant de 007, auxquels s’ajoutent les traditionnels champagnes, vins, bières et spiritueux emblématiques des régions qu’il visite.
Avec Cocktailement vôtre, David Leigh, créateur du blog The James Bond Dossier, nous apprend à déguster comme le plus gentleman des agents secrets et nous fait découvrir l’histoire qui se cache derrière ces cocktails de légende – toujours alcoolisés, car le thé, « cette boue », n’est-il pas « responsable du déclin de l’Empire britannique » ?
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