Portraits de vies, Gambetta, Patriote ou partisan obstiné ?, Récit
EAN13
9782310047326
ISBN
978-2-310-04732-6
Éditeur
Amalthée
Date de publication
Collection
AM.AMALTHEE LIV
Séries
Portraits de vies
Nombre de pages
183
Poids
233 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Gambetta, Patriote ou partisan obstiné ?

Récit

De

Amalthée

Am.Amalthee Liv

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«  Le 18 juillet 1870, la France déclare la guerre à la Prusse car elle s’est laissé manipuler par des va-t-en guerre des deux côtés. La France espérait des alliés : Autriche, Italie, Danemark, voire Russie. Elle n’en a aucun ; elle se retrouve seule face à son adversaire qui lui, a rassemblé tous les États allemands.  »
«  À madame Viaud Grand Marais, Noirmoutier Nantes, 9 sept 1870. Que de tristes événements. L’horizon devient de plus en plus noir, et la prophétie dont je vous parlais naguères, en annonçant la ruine de Paris semble vouloir se réaliser.  »
 
D’octobre 1870 à février 1871, André Viaud Grand Marais et ses proches échangent des lettres d’où jaillit tout un pan de de l’Histoire de France. Entre marches incessantes, hiver sibérien et douleur de la séparation, cette correspondance met en lumière les misères traversées par les soldats.
Près de 150 ans plus tard, son arrière-petit-fils, le général Jean Fleury décide de compiler les lettres de son aïeul. Miroir sur notre passé, ce recueil historique souligne les changements profonds qui bouleversent la République française et les français. Au cœur de cette France morcelée, Gambetta s’est imposé comme une figure digne d’être admirée. Mais à l’heure où les combats font rage, André Viaud Grand Marais en vient à le considérer comme un dictateur néfaste. Comment expliquer ce changement  ?
Une correspondance évocatrice qui offre une
vision nouvelle de la guerre franco-allemande.
 
 
André Viaud Grand Marais, licencié en droit, est appelé dans la Garde nationale mobile de la Loire-Inférieure et combat de septembre 1870 à janvier 1871 dans l’armée de la Loire. Son arrière-petit-fils, le général d’armée aérienne (CR) Jean Fleury, a été le chef de l’état-major particulier de François Mitterrand puis chef d’état-major de l’Armée de l’air. Il a retrouvé dans la bibliothèque familiale les lettres de son bisaïeul.
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